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Deux bateaux (1915)

(Két hajó)

Le cirque[1] (A cirkusz)

Deux bateaux[2] (Két hajó)

Vent du Nord[3] (Északi szél)

Le bossu[4] (A púpos)

PoussiÈre (Por)

Soleils[5] (Napok)

Le Poussin aveugle (Vak csibe)

GethsÉmani (Getsemáne)

Le visage de l'Âme (A lélek arca)

Dieu soleil (Napisten)

La ville engloutie (A régi város)

Le sculpteur aveugle (A vak szobrász)

Sélection naturelle (Természetes kiválás)

ErzsÉbet va au thÉÂtre[6] (Erzsébet színházba megy)

La terre est de pierre (Kőből van a föld)

Les soldats (Katonák)

RÊver (Álmodni)

L'infidÈle (A hűtelen)

ombres[7] (Árnyék)

Figures de cire (Viaszfigurák)

mon frère JÓska (Levél a Jóska öcsémről)

Le PÉchÉ[8] (Bűn)

Mysticisme (Titokzatosság)

Parabole sur la mort[9] [10] (Példázat a halálról)

Art (Művészet)

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[1] Cette nouvelle a été publiée aux Éditions Viviane Hamy ainsi que, dans une traduction de Péter Diener aux éditions Ombres.

[2] Cette nouvelle a été publiée aux Éditions Ombres dans la traduction de Péter Diener.

[3] Cette nouvelle a été publiée aux Éditions Ombres dans la traduction de Péter Diener.

[4] Cette nouvelle a été publiée aux Éditions Ombres dans la traduction de Péter Diener, ainsi que dans le n°185 (2006) de la revue Le Coq Héron).

[5] Cette nouvelle a été publiée dans la revue "Coq Héron", n°185, en 2006.

[6] Cette nouvelle a été publiée aux Éditions des Syrtes dans le recueil "La ballade des hommes muets"

[7] Cette nouvelle a été publiée aux Éditions Ombres dans la traduction de Péter Diener.

[8] Cette nouvelle a été publiée aux Éditions des Syrtes dans le recueil "La ballade des hommes muets"

[9] Cette nouvelle a été publiée aux Éditions Ombres dans la traduction de Péter Diener.

[10] Cette nouvelle apparaît également dans le recueil "Les assassins"