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Les assassins

(Gyilkosok)

 

 

 

Je voulais dédier ce livre à ma femme qui était le bonheur, la beauté, la bonté, la vie et la joie-même sur cette Terre et qui en octobre 1918 a été emportée et piétinée sous la Terre par le sale embryon de la haine et de la folie : la peste. Maintenant qu’elle n’est plus ici pour le lire, elle, l’amour, la compréhension – je transmets mon livre à la froide indifférence et à l’ennui qui ne comprennent rien, qui ne croient rien, et qui enterrent tout. (1921)

 

La maison en feu (Az égő ház)

La Mort magnÉtique (Novella a delejes halálról)

La Mort et le bÛcheron (A halál és a favágó)

prologue[1] (Prológus)

dossiers (Akták)

amour sans espoir[2] (Reménytelen szerelem)

soif (Szomjúság)

dÓdi (Dódi)

solitude (A magány)

fÉvrier (Február)

Parabole sur la mort[3] (Példázat a halálról)

L’autre (A másik)

l’ennemi (Az ellenség)

vassili (Vaszilij)

Moi et bibi[4] (Én és Énke)

aimer une femme[5] (Egy nőt szeretni)

rÊve (Álom)

cÉsar et Abou kaïr (Caesar és Abu Kair)

des milliers d’annÉes[6] (Pár ezer év)

la molÉcule vivante (Az élő molekula)

Le meurtre d’oxford street[7] (Az Oxford-streeti gyilkosság)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



[1] Cette nouvelle se trouve également dans le recueil "Deux bateaux"

[2] Cette nouvelle a été publiée aux Éditions des Syrtes dans le recueil "La ballade des hommes muets". Elle a été diffusée à la Radio Suisse Romande en mars 2008 (l'écouter)

[3] Cette nouvelle apparaît également dans "Deux bateaux")

[4] Cette nouvelle a été publiée aux Éditions Viviane Hamy dans le recueil "Je dénonce l'humanité"

[5] Cette nouvelle a été publiée aux Éditions des Syrtes dans le recueil " La ballade des hommes muets ". Elle a été diffusée à la Radio Suisse Romande en mars 2008 (l'écouter)

[6] Cette nouvelle a été publiée aux Éditions des Syrtes dans le recueil "La ballade des hommes muets"

[7] Cette nouvelle a été publiée aux Éditions des Syrtes dans le recueil "La ballade des hommes muets"