Frigyes Karinthy
Le cirque fascinait Karinthy. Il en fait
le centre de sa nouvelle du même nom et en a repris le thème dans des vers du
poème "Compte rendu". Le cirque appartient aux souvenirs et aux
trésors de l’enfance ("Dódi", "Le
serment", "Secret"). Mais il est aussi Luna Park avec ses
vulgarités et aussi sa fascination ("Amusement du peuple",
"Joie des peuples"). Le cirque devient alors métaphore à
l’appui de la satire : Robinson aboutit au cirque, le lion apprivoise
l’homme ("Le dompteur d’homme"), seul le poète peut comprendre le
clown dans ce cirque ivre appelé l’Europe ("Acroba-a-te ! diploma-a-te ! hop !”). |
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