Frigyes Karinthy
Les références aux animaux sont
innombrables chez Karinthy sous plusieurs aspects : Le rapport que nous entretenons avec
eux, en tant qu’enfant ou en tant
qu’adulte ("J »aime les animaux", "Le chien va son
chemin", "Tibor", "Arabesques", "Allô, ici
Budapest ! (25 avril), "Le rêve de Margitka"…).
Ils sont objet de réflexion sur la nature
humaine et ce qui nous distingue ("Préface, à moi-même", "Le
rire", "Un jour", "La société", "Trouble momentané
d’esprit", "Marché central"…) Ils sont prétextes à des fables à la
manière d’Ésope et de Ils participent au déroulement
d’histoires fantastiques ou futuristes ("La princesse et le
crapaud", "Nouvelle Iliade"). Enfin Karinthy se pose la question :
qu’est-ce qu’une pensée animale ? ("Animaux",
"Tomi", "Février") |
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Mesdames
et Messieurs (4 décembre 1928) |
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